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Escale à La Palma
Canaries

Parti à 2 heures du matin  de la Gomera, mes voisins de pontons Polonais semblant fêter leur arrivée à bon port jusqu’à épuisement de leur stock de boisson spiritueuse, il était impossible de dormir, c’est en milieu de journée qu’apparait La Palma drapée dans un manteau de nuages.

 

Un dicton météo-inspiré dit :

« Quand tu vois un nuage noir, c’est qu’il va pleuvoir.

Quand tu ne vois plus rien , c’est qu’il pleut ! » .

 

Et en effet , à peine entré dans le port la pluie se déchaine.

Tant et si bien que le ciré, « au piquet » depuis 2 mois, est tiré de son placard.

L’ile de La Palma, du fait de son relief, barre la route aux vents humides, les piège dans la caldera centrale de Taburiente  et la convection diurne propulse les nuées jusqu’à la condensation.

 

Bref, pendant tout le séjour le ciel se couvrira le matin et la pluie tombera l’après-midi !

La végétation pas luxuriante mais très abondante offre un contraste  saisissant avec  la désertique Fuenteventura.

 

Quant au vélo…il suffit de rappeler que la Palma culmine à plus de 2400 mètres pour calmer toute velléité vélocipédique !

 

Départ de la Palma
Mer d'huile

La convection se met en place le matin à La Palma drapant progressivement les hauteurs de brumes et de mystères.

La pluie finit par venir en milieu d’après midi.

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